Aujourdhui, la tendance est plutôt à démolir les vieux barrages. En 2018 et 2020, les barrages de Vezins et de La Roche-qui-Boit en Normandie ont ainsi été détruits afin de redonner à la rivière son aspect initial. Retour à la nature ou production d'énergie propre demeure le dilemme qui agite la communauté écologique.
Superficie 140 ha Communes Mortrie / Ducey Les logements disponibles près du lac Aucun logement n'a été proposé près de ce lac, soyez le premier. Proposer un nouveau logement près de ce lac Type Nom Adresse Classé étoiles ou épis Accessibilité handicapé Animaux acceptés Lien internet Description On en parle ... Aucune information complémentaire pour ce lac. Commentaires Aucun commentaire n'a été publié sur ce lac, soyez le premier à réagir. Ajouter un nouveau commentaire à propos de ce lac Pseudo Commentaire Autres lacs prochesLac du Barrage de Vezins kmEtang de Margotin kmLac du Gast kmMare de Bouillon kmEtang du Vieux Château kmEtang Les Burons kmEtangs de Montaigu kmLac de la Dathée kmEtang de Morette kmPlan d'eau de La Motte km Magasins d'articles de pêche les plus prochesDécathlon Avranches kmArmurerie Jacques Denys kmPeche Chasse 35 kmSylco Pêche kmPêche Et Nature kmDécathlon Flers kmDécathlon Coutances kmDécathlon SAint Jouan des Guerets kmComptoir de la Mer Saint Malo kmDécathlon Betton km Erreur dans la fiche de ce lac ? Merci de nous l'indiquer ... Email Texte Retour
Finnovembre 2014, la Commission d’enquête a donné un avis favorable à la demande d’autorisation au titre de la loi sur l’eau de l’opération de démantèlement des barrages de Vezins et de la Roche-qui-Boit. Cette décision couronne ainsi plusieurs années de concertation pour la définition d’une nouvelle gouvernance de l’eau à l’échelle du bassin versant de ce fleuve
L’annonce de la ministre de l’Ecologie, lors de sa visite en baie du Mont-Saint-Michel le 4 décembre, est loin de ravir les élus qui depuis plus de quinze ans travaillent sur ce projet d’arasement des barrages hydroélectriques inscrit au SAGE Sélune Schéma d’aménagement et de gestion des eaux, lui-même inscrit dans l’inter-SAGE de la baie du Mont-Saint-Michel. Madame Ségolène Royal semble savoir dire oui à tout le monde, réagit Michel Thoury UMP, président de l’inter-SAGE. Si l’on tient à comparer au projet de Sivens, c’est du même métal pour ce qui est du courage politique effectivement. Au-delà , nous sommes dans un cas totalement différent. » De nombreuses expertises La ministre a demandé quatre nouvelles études, continue l’élu du Sud Manche, sauf que depuis quatorze ans de nombreuses expertises ont été faites par le SAGE, l’Agence de l’eau Seine-Normandie et l’Etat, l’Etat qui a décidé l’arasement. » En dix ans, estime pour sa part le vice-président du conseil général de la Manche et sénateur Philippe Bas UMP, sur le plan technologique, il y a eu beaucoup d’évolutions. D’autres voies sont possibles et je souligne la nécessité d’études indépendantes, contradictoires et non univoques. » Le parlementaire s’est lui prononcé contre l’arasement des deux ouvrages. Il était avec Ségolène Royal le 4 décembre Elle a mentionné qu’il serait paradoxal d’arrêter des barrages qui fonctionnent alors qu’on a tant de mal à en créer de nouveau. Elle a surtout compris les arguments des opposants au moment où elle présente sa loi sur la transition énergétique, il est également paradoxal d’arrêter une production hydroélectrique existante, même modeste. » Un grave contre-sens » Les barrages de Vezins et La-Roche-qui-Boît représentent une production hydroélectrique annuelle de 27 gigawatts heure, soit 0,04 % de la production nationale. Un potentiel dérisoire », selon le collectif Les Amis de la Sélune, composés d’associations de protection de l’environnement mais aussi de l’union régionale des pêcheurs de Bretagne et Basse-Normandie. Dans leur contre-argumentation, ils avancent aussi Brandir le coût du démantèlement des barrages et de renaturation de la vallée 53 millions d’euros comme un épouvantail financier est un grave contresens. Madame Royal devrait considérer que ce projet est avant tout un investissement pour l’avenir. » Faut-il rappeler que la destruction de ces barrages a été décidé parce qu’il a été confirmé qu’ils nuisent à la circulation des poissons, reprend Michel Thoury, que la stagnation d’eau a favorisé le développement de cyanobactéries qui libèrent des toxines. Et de surcroît, la fédération nationale de pêche, qui a déjà gagné devant le tribunal administratif et en appel contre l’Etat et EDF, le concessionnaire, va maintenant porter l’affaire devant le conseil de l’Europe ! » On nous demande de remettre en état la qualité de l’eau pour 2015, termine-t-il. Maintenant, en bons et loyaux républicains, si l’Etat en décide autrement, nous nous exécuterons. Mais vous savez, chez nous il y a un dicton Il y a les disous et il y a les faisous ». » Dans un projet validé en 2005, la commission locale de l’eau avait fait le choix de la préservation de l’eau et des milieux aquatiques en vallée de la Sélune. En 2009, dans la continuité du Grenelle de l’Environnement, la ministre de l’écologie Chantal Jouanno annonçait les opérations d’effacement des deux barrages en souhaitant une opération visant l’excellence environnementale. Le projet enfin s’inscrit dans une ambition à l’échelle de toute la baie du Mont-Saint-Michel, classée au patrimoine mondiale de l’UNESCO, pour laquelle d’ailleurs de nouveaux périmètres de protection sont envisagés. Ségolène Royal s’est exprimé à ce propos également, invitant les élus opposés à cette perspective d’être force de proposition.
InquiĂ©tĂ©spar le risque d’inondations, ils rĂ©clamaient l’annulation du permis de dĂ©molir partiellement le barrage de La Roche-Qui-Boit accordĂ©, le 21 septembre 2020, par la prĂ©fecture de la Manche Ă la sociĂ©tĂ© EDF. L’électricitĂ© produite depuis 1946. Pour mĂ©moire, le fournisseur d’énergie avait exploitĂ© ce barrage, achevĂ© en 1919, pour produire de l’électricitĂ© Ă
Accueil Environnement. Le préfet de la Manche a signé les arrêtés autorisant la destruction des barrages hydroélectriques de Vezins et La Roche-qui-Boit, situés sur la Sélune, à 30 kilomètres du Mont-Saint-Michel. Article réservé aux abonnés
Malgrécela, Albert Caquot (1881-1976) est inconnu du grand public. Les barrages de la Roche-qui-Boit et de Vezins, dans le Sud-Manche, sont nés de ses recherches sur la résistance des matériaux. Ce ne sont pas ses seules créations, loin de là ! Rio de Janeiro porte par exemple son influence. Lire l’article ici. Albert Caquot s’est illustré, notamment, dans la
Publié le 27 oct. 2014 à 1906Construits respectivement en 1919 et en 1932, les deux barrages hydroélectriques de La Roche-qui-Boit et Vézins, situés sur la rivière Sélune Manche, à quelques kilomètres du Mont-Saint-Michel, font toujours partie du paysage du sud de ce département. Pourtant, la décision de leur destruction qui date de novembre 2009, dans le cadre du Grenelle de l’environnement afin de restituer la continuité écologique de ce fleuve côtier, un des tous premiers bassins à saumon de France, a été confirmée par le nouveau gouvernement, en juillet 2012. En 2010, un arrêt de la cour administrative d’appel de Nantes est même venu imposer l’arasement à EDF, le gestionnaire des infrastructures !Mais, depuis, la polémique fait rage entre les partisans et les opposants de la destruction. La destruction des deux ouvrages qui devait être engagée dès 2013 a été repoussée à 2015. Un chantier de 15 millions d’eurosSi les défenseurs de l’environnement mettent en avant un démantèlement unique et exemplaire mais aussi une formidable opportunité pour la vallée », les opposants en dénoncent l’inutilité et le coût de la destruction ». Le collectif des amis des deux barrages a distribué tracts pour inciter la population à s’exprimer ces dernières semaines lors de l’enquête publique avant travaux qui vient de se terminer le 17 octobre. Depuis le 3 juillet dernier, les deux barrages ne produisent plus d’électricité. L’arrêté d’exploitation n’a pas été renouvelé par le Préfet, et EDF assure juste la sécurité. Les travaux pourraient commencer à l’automne 2015 après achèvement de la procédure administrative réglementaire en cours. La fin du chantier est prévue en 2018 », indique la préfecture de la Manche. Le chantier, qui est évalué à 15 millions d’euros, doit durer trois ans. Il faut d’abord abaisser le plan d’eau, vidanger et surtout gérer les boues partiellement polluées, et prévoir ce que les spécialistes appellent la renaturation » de la vallée et, enfin, le démantèlement des ouvrages. Pendant ce temps, dans le département voisin, le Calvados, la suppression du barrage de l’Enfernay, sur l’Orne, exploité par la manufacture de Coton Gosselin jusqu’en 2004, et le travail de renaturation du site viennent d’être récompensés par Ségolène Royal du Grand prix national du génie écologique. En Basse-Normandie, on compte un millier de seuils et de barrages dont 80 % à 90 % sont inutiles ou ne servent plus », comptabilise André Berne, directeur territorial de l’Agence de l’eau Seine Normandie, qui finance la destruction de ces barrages. Comment affronter la montée des incertitudes ?Inflation, hausse des taux d’intérêt, Ukraine et maintenant incertitude politique, les chocs se multiplient. Pour évoluer dans un environnement de plus en plus complexe, l’expertise de la rédaction des Echos est précieuse. Chaque jour, nos enquêtes, analyses, chroniques et édito accompagnent nos abonnés, les aident à comprendre les changements qui transforment notre monde et les préparent à prendre les meilleures découvre les offres
Depuis2019, des saumons adultes sont capturés dans l'estuaire de la Sélune et équipés d'émetteurs radio afin de pouvoir suivre leur comportement. Dans le contexte de démantèlement des barrages sur le fleuve (notamment la Roche-Qui-Boit), il est important de déterminer la vitesse de recolonisation ainsi que les premières zones de reproduction utilisées par les
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Étude paysagère démantèlement du barrage de la Roche Qui Boit à Sélune. Diagnostic et préconisations paysagères Objectifs de l’étude pour EDF, une démarche de reconquête de la nature Remise à l’état initial du site du barrage Permettre à la nature de reprendre ses droits’ Définition du terrain naturel d’origine Gestion des terrassements afin d’utiliser les produits de démolition in situ Intégration paysagère du projet dans son environnement, dans la continuité des typologies végétales existantes Maintien de traces historiques et patrimoniales Développer la biodiversité Accueillir des espèces protégées Aménagement d’un lieu d’accueil s’inscrivant dans le territoire touristique Pédagogie et information Un aménagement nécessitant peu d’entretien
. 248 275 594 666 550 123 488 41
barrage de la roche qui boit